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Les produits minceur font-ils maigrir ?

Article du FIGARO par Cécile THIBERT cite Sandra Fiorin


Les brûleurs de graisse, coupe-faim et autre produits drainants sont-ils à la hauteur de leurs promesses ?

Gélules coupe-faim, comprimés brûleurs de graisse, tisanes drainantes… En pharmacie ou parapharmacie, dans les magasins bio ou sur internet, on ne compte plus les compléments alimentaires qui prétendent faire fondre les kilos en quelques semaines. Et avec près de la moitié de la population française en surpoids ou obèse, ces promesses séduisent encore et toujours. Selon les derniers rapports du syndicat national des compléments alimentaires, il s’est vendu pour au moins 84,4 millions d’euros de produits minceurs 2019. L’engouement pour ces produits semble toutefois décliner, avec une baisse de 15% enregistrée en pharmacie entre 2018 et 2019.

Mais peut-on vraiment perdre du poids en faisant une cure de gélules ? Que contiennent ces produits ? Quelle est leur action et ont-ils une réelle efficacité ?

De quoi parle-t-on ?

On peut classer schématiquement ces produits en trois grandes catégories:

Les coupe-faim

Ces produits déclenchent la satiété. «Le principe est simple : on leste l’estomac avec des substances qui ne nourrissent pas, mais qui permettent de faire passer momentanément la sensation de faim
», explique Sandra Fiorin, diététicienne nutritionniste. Les substances en question sont des fibres que l’on trouve dans des algues, dans la peau de certains fruits ou encore dans l’enveloppe de certaines graines. On peut citer le fucus, la pomme, la gomme guar, le konjac, le karaya ou encore le nopal.

«Mises au contact de l’eau, ces fibres vont gonfler et former une gélatine. C’est une action qui peut être intéressante pour les gens qui ont un gros appétit», indique la diététicienne.

«Ce n’est pas dangereux pour la santé mais cela peut provoquer des ballonnements et des diarrhées». Dans cette catégorie, seul le konjac – une plante originaire d’Asie – est autorisé par les autorités françaises et européennes à afficher l’allégation «perte de poids», à condition de préciser que sa prise doit s’accompagner d’un régime pauvre en calories.

Les brûleurs de graisse ou de calories

«Le principe est d’utiliser des substances qui augmentent le métabolisme de base ,c’est-à-dire la consommation d’énergie quand l’organisme est au repos», explique le Pr Boris Hansel, médecin nutritionniste à l’hôpital Bichat*. Les stars de ce rayon sont les plantes contenant de la caféine, comme le thé vert, le maté, le kola et le guarana. Boire une tisane ou avaler une gélule pour « brûler» sa graisse en restant sur son canapé ?

L’idée est belle, mais elle est évidemment bien éloignée de la réalité. «Il est vrai que la caféine augmente les dépenses énergétiques, mais l’impact sur le poids n’est pas significatif», prévient le médecin.

D’autant que, si certains composés ont effectivement fait la preuve de leur action (comme la caféine), ils sont en pratique présents en très faible quantité. «On sait que pour avoir une augmentation de la thermogenèse et de la dépense énergétique, il est nécessaire d’apporter au moins 100 à 400 mg par jour de caféine», rappelle Marie Ohanian dans sa thèse de pharmacie. «Or la plupart des compléments alimentaires minceurs contiennent entre 25 et 91 mg de caféine totale », soulignait la pharmacienne à propos de trois produits phare (Anaca 3+ perte de poids, OEnobiol minceur tout en 1, Xtra Slim capteur 3 en 1).

Un exemple qui ne serait pas rare. «Il faut voir dans quelle mesure le produit contient une dose significative de principe actif», confirme le Pr Hansel. «Souvent, l’effet est prouvé pour des doses nettement supérieures à celles contenues dans le complément alimentaire.»

Les produits drainants

Citons le thé vert, la queue de cerise, la reine-des-prés ou encore le bouleau. «Ils n’ont pas d’action directe sur le métabolisme. Ils conduisent seulement à uriner et donc à boire davantage, mais si on a 15 kilos à perdre, ça ne va pas aider : on n’urine pas du gras», souligne Sandra Fiorin.

«L’idée que l’on va éliminer des produits toxiques et perdre du poids si l’on urine beaucoup est totalement erronée», rappelle le Pr Boris Hansel. «C’est un concept inventé par le marketing. Médicalement, rien ne peut justifier de prendre des diurétiques pour perdre du poids.»

Notons que ces compléments alimentaires sont déconseillés aux insuffisants cardiaques, aux hypertendus, aux personnes souffrant d’insuffisance rénale et aux femmes enceintes ou allaitantes car ils entraînent la fuite de sels minéraux.

Quelles preuves d’efficacité ?

«Même s’ils ont parfois l’apparence de médicaments, tous ces produits sont des compléments alimentaires.

À ce titre, les fabricants n’ont pas besoin de réaliser d’essais cliniques pour que leur produit soit autorisé, contrairement aux médicaments», explique le Pr Boris Hansel.

Autrement dit, les compléments alimentaires sont donc vendus sans aucune assurance que les promesses inscrites sur la boîte soient vraies.

De même, aucun test de toxicité n’est demandé. «Très souvent, ces allégations s’appuient sur des arguments historiques des compléments alimentaires avec notamment un usage ancestral d’une plante mais qui ne veut pas forcément signifier que la plante est réellement efficace», souligne la pharmacienne Marie Ohanian dans sa thèse («Analyse critique des compléments à visée minceur») récemment publiée.

« Contrairement aux médicaments, les fabricants n’ont pas besoin de réaliser d’essais cliniques pour que leur produit soit autorisé. » Pr Boris Hansel, médecin nutritionniste à l’hôpital Bichat.

Pour mettre en vente son produit, une entreprise n’a qu’à déclarer son produit auprès de la Direction de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), qui vérifie que les ingrédients et les allégations mentionnées sont conformes au règlement.

Celles-ci sont par ailleurs étroitement réglementées, même si elles laissent parfois planer le doute pour le consommateur.

Par exemple, la loi «n’autorise pas les allégations faisant référence au rythme ou à l’importance de la perte de poids sur les denrées alimentaires (exemple : moins 10kg en 1 mois) »,explique la DGCCRF au Figaro. En revanche, «le terme ”minceur” peut être employé», précise l’institution de contrôle. Trompeur.


L’industriel est donc responsable de sa conformité en termes de sécurité et d’information, mais rien ne garantit que les promesses inscrites sur la boîte sont exactes.

«Certains fabricants se contentent de faire des enquêtes de satisfaction, d’autres font tout de même ce qu’ils appellent des tests cliniques», précise le Pr Hansel.


«Ils vont par exemple mesurer le tour de taille de 50 personnes avant et après une cure de leur produit. Mais il n’y a jamais de groupe contrôle donc les résultats ne valent rien. ”Testé cliniquement”, cela ne veut strictement rien dire», prévient le nutritionniste, qui a été plusieurs fois approché (en vain) par des entreprises souhaitant le voir superviser des pseudo-études de ce type.

Que disent les études scientifiques ?

Très récemment, des médecins et universitaires américains ont entrepris de recenser toutes les études sérieuses et indépendantes sur les produits minceur. Leur travail, publié en 2021 dans la revue Obesity, a permis de rassembler 315 essais cliniques réalisés depuis 2018. Des études qui, pour la plupart, se sont révélées être de piètre qualité : faible nombre de participants, durée de suivi trop courte, méthodologie bâclée, nombreux biais perturbant les résultats…

«Malgré le fait qu’il existe un certain nombre d’études évaluant l’efficacité des compléments alimentaires dans la perte de poids, il n’existe pas de preuves solides de l’efficacité de ces produits », concluent les auteurs.

Une autre étude, dévoilée cette année lors du Congrès européen sur l’obésité, va dans le même sens. Elle conclut même qu’aucun complément alimentaire ne permet d’obtenir une perte de poids « cliniquement significative » (au moins 2,5 kilos).

«Cela ne veut pas dire qu’aucun de ces compléments alimentaires n’a d’effet, mais si effet il y a, il ne peut être que minime », estime le Pr Jean-Marie Bard, pharmacien et professeur de biochimie à l’université de Nantes.


«Ces produits peuvent toute fois avoir un effet placebo. Quand on est persuadé que quelque chose fonctionne, cela peut avoir un impact.»
« Le fait d’acheter une boîte de gélules à 50 euros peut encourager les gens à faire plus attention à leur santé et à leur alimentation », ajoute Sandra Fiorin. « Mais prendre ces produits sans réduire en parallèle ses apports en lipides et en glucides et sans faire d’activité physique ne sert à rien.»


Quoi qu’il en soit, nous sommes loin des promesses faites par les fabricants, comme l’on pouvait s’en douter. « S’il existait une pilule miracle, je serais au chômage », sourit Sandra Fiorin.

« Il existait bien des médicaments qui permettaient de perdre du poids ,mais ils ont presque tous été retirés du marché en raison d’effets indésirables graves ». Le Mediator en est sans doute l’exemple le plus emblématique.

Ce médicament, initialement indiqué dans le traitement du diabète de type 2, a été détourné et prescrit comme coupe-faim aux personnes en surpoids. Toxique pour les valves cardiaques, le médicament est accusé d’avoir causé la mort de 1500 à 2100 personnes, sans compter celles qui souffrent encore aujourd’hui des conséquences des effets indésirables.


Contrairement à une idée très répandue, les compléments alimentaires sont eux aussi loin d’être anodins. En 2020, l’Agence de sécurité sanitaire a ainsi alerté sur lap-synéphrine, une substance présente dans l’écorce d’orange amère, qui est aussi un ingrédient de nombreux compléments alimentaires minceur. Une surdose peut entraîner des effets graves au niveau cardiovasculaire, hépatique, ou encore neurologique.

https://www.lefigaro.fr/sciences/les-produits-minceur-font-ils-vraiment-maigrir-20211104

LES ETIQUETTES

LES ÉTIQUETTES

APPRENDRE A DÉCRYPTER LES ÉTIQUETTES

Les étiquettes, les fabricants ont l’obligation de faire apparaître 4 informations sur les emballages :

1) le tableau nutritionnel

2) la liste des ingrédients avec les allergènes potentiels

3) les allégations nutritionnelles (ex : source de fibre…)

4) les allégations santé (ex : le calcium est nécessaire au maintien d’une ossature normale…)

I LE TABLEAU NUTRITIONNEL

Obligatoire depuis Décembre 2016. Toujours indiqué pour 100g d’aliments (ou 100ml) il permet de correctement comparer un même type de produits. Les fabricants ajoutant souvent une colonne à la portion recommandée du produit (ex : 30g pour les céréales du petit déjeuner, 1 verre de 250ml pour le lait…)

  • On retrouve les valeurs énergétiques exprimées en kilocalories (kcal) et kilojoules (kJ). Les quantités exprimées en grammes de Matières Grasses dont la quantité d’Acide Gras Saturés
  • Les quantités exprimées en grammes de Glucides dont la quantité de sucres.
  • Egalement exprimées en grammes de Protéines
  • Puis en grammes de Sel
  • Si le produit comporte une allégation en vitamines, minéraux, en fibres. La quantité du nutriment mis en avant doit apparaître dans le tableau et mis en rapport avec les Apports de Références (AR).

Les AR sont les apports journaliers recommandés pour les vitamines et minéraux fixés par le Règlement Européen (UE) n°1169/2011. Appelée aussi VNR (Valeurs Nutritionnelles de Référence), AQR (Apports Quotidiens de Référence) ou AJR (Apports Journaliers Recommandés).

II LA LISTE DES INGRÉDIENTS

Elle est par ordre décroissant de poids. Même s’il s’agit de valeurs relatives et peu précise. La liste des ingrédients est un renseignement primordial sur la qualité du produit.

  • Favoriser une liste courte
  • Privilegier les listes compréhensibles avec des ingrédients que vous avez dans votre cuisine et vos placards.
  • Farine plutôt qu’amidon,
  • Sucre de canne plutôt que sirop de glucose-fructose, sucre inverti, maltodextrine, dextrose,
  • Lait ou même poudre de lait, plutôt lactosérum, protéine de lait,
  • Œuf entier plutôt que blanc d’œufs en poudre…
  • Réfléchir à la recette. Lorsque je fais un gâteau maison mon premier ingrédient est logiquement la « farine ». Si à la lecture de l’étiquette d’un paquet de gâteau je lis « sucre » en premier, il est préférable de le laisser en rayon.
  • A la toute fin de la liste des ingrédients sont précisés les additifs. La aussi il est préférable par mesure de précaution et par choix de qualité de choisir les aliments en contenant très peu voire pas du tout.

III LES ALLÉGATIONS NUTRITIONNELLES

« Riche en vitamine C » « Riche en protéines » « Pauvre en sel » …

Il s’agit d’allégation réglementé qui peuvent être quantitative c’est-à-dire que le produit possède des propriétés bénéfiques particulière de par le nutriments mis en avant ou par la faible proportion d’un élément. Exemple : Riche en vitamines A c’est-à-dire que le produit contient au 30% des AR pour 100g.

Ou alors comparative, le produit se positionne par rapport aux produits de la même catégorie ou un « produit de référence ». Exemple compote allégée en sucre contient 30% de sucre en moins que les compotes classiques.

IV LES ALLÉGATIONS SANTE

Ou plutôt fonctionnelles suggèrent les effets bénéfiques éventuels d’un aliment qui améliorerait le fonctionnement d’un organe ou d’une fonction du corps. Exemple : le magnésium contribue au fonctionnement normal du système nerveux.

Seules les allégations scientifiquement prouvées sont autorisées par la Commission Européenne. Il est interdit de mettre en avant qu’un aliment puissent prévenir, traiter ou même guérir une maladie.

Les allégations concernant l’amaigrissement, la perte de poids sont également interdites mais les fabricants utilisent des logos, des images, et des noms de produits le suggérant toute en restant dans le cadre de la loi. Exemple : free and light pour des yaourts ou la marque Taille fine.

Le fromage et les calories ?

Le fromage et les calories ?

Sandra Fiorin diététicienne nutritionniste

Le fromage est-il compatible avec mon régime minceur?

En période de régime, les patients ont souvent peur que le diététicien supprime le fromage…Pourquoi ferions-nous cela?

Le fromage à depuis toujours une place de choix dans l’équilibre alimentaire. Celui-ci fait toujours parti des prescriptions diététiques!

Sans oublier, toutes ses personnes qui faisant attention à leur ligne supprime de leur alimentation, ce fromage qu’ils adorent!! C’est dommage, car se priver de nos aliments préférer en période de régime créer une frustration qui demandera réparation à un moment ou un autre, cela s’appelle la “restriction cognitive”. Résultat on se prive, puis on craque, on se sent nul, on arrête tous.

Cela pourrait ne pas arriver si vous saviez que vous avez le droit de manger sans culpabiliser 30 à 40g de fromage par jour! Et pour les amateurs, il est même possible de temps en temps en période de régime de remplacer vos 150g viandes par 80g de fromages au cours d’un repas!

Le fromage, bon pour la santé?

Oui, le fromage est bon pour notre santé. Il a été diabolisé, d’un coté, car très caloriques et encensé, de l’autre, car riche en calcium.

Je ne souhaite pas rentrer dans la polémique actuelle concernant le calcium et les produits laitiers. Juste rappeler que la nutrition est une science. Donc par définition nos connaissances et nos affirmations doivent être basées sur “la preuve scientifique”. Par conséquent, grâce aux nouvelles techniques et l’avancées de nos connaissances, les recommandations d’hier comme celles d’aujourd’hui sont vouées à évoluer.

Le fromage est donc bien riche en calcium parfaitement assimilable par notre organisme. Et oui il n’est pas le seul, heureusement pour ceux qui n’en consomme pas. Il n’y a donc pas de raison si on l’aime de le bannir et si on ne l’aime pas de s’obliger à en manger.

Ceci étant dit, le fromage contient aussi du phosphore, est riche en Vitamine D et participe à l’apport quotidien en vitamine B12 (indispensable pour les végétariens).

Malheureusement, même si les dernières découvertes scientifiques ont permise de mettre en avant que son gras n’était pas si dangereux nos artères, il n’en reste pas moins un aliment calorique et salé. Inévitablement, il ne peut pas être conseillé à “volonté” comme les légumes.

Lequel est le moins calorique?

Malgré tout, il existe des fromages moins caloriques que les autres. Le plus souvent il s’agit de fromage riche en eau, fromage frais puis pâte molle alors que les plus caloriques seront les fromages à pâte pressée cuite.

Le moins calorique de tout les fromages est la Cancoillotte. Fait à partir de lait écrémé, il ne contient que 49 kcal pour 30g. Pendant, qu’un Comté sera à 125 kcal les 30g.

On peut citer la Féta, ce fromage frais Grec, parfait pour nos salade à 77 kcal/30g.

La mozzarella à 72 kcal/30g.

Ainsi que notre bon camembert à 80 kcal/30g.

Concernant les fromages allégés, à moins de vraiment aimer cela, il n’ont que peut d’intérêt. Ils ont tendance par leur goûts fadasse à frustrer les amateurs de fromages. Sans oublier qu’ils sont riche en additifs et autres agents de textures pas vraiment intéressant pour notre santé.

Alors régime ou pas faites vous plaisir!

Le chocolat et la santé?

 Le chocolat et la santé?

Le chocolat est-il bon pour la santé?

Ce qui est bon pour notre santé dans le chocolat, c’est le CACAO.

Le chocolat et la santé? Le Cacao est riche en Vitamines B, en POTASSIUM et en PHOSPHORE.

Le chocolat est bon pour le cœur. Il aide a lutter contre les maladies cardio-vasculaire. Comment?

Il est riche en polyphénols une puissante famille d’anti-oxydants et il contient de la Vitamine E, anti-oxydante elle aussi.

Ces anti-oxydants aide à lutter contre le mauvais cholestérol. Ils contribuent à la coagulation du sang et à la dilatation des vaisseaux sanguins, ce qui à pour effet de faire baisser la tension artérielle.

Ces anti-oxydants aident à prevenir le vieillissement de l’ensemble de nos cellules, notamment les cellules cérébrales.

Sans oublier, que le cacao contient une petite quantité de caféine mais surtout de la théobromine qui sont des stimulant du système nerveux. Le cacao aide à lutter contre les petits “coups de pompe” et aide à la mémorisation.

Ne pas parler de l’effet anti-dépresseur prouver du cacao serait un sacrilège. Comment ?

D’abord grâce à sa richesse en Magnésium qui aide à réguler l’anxiété. Puis grâce à sa richesse en un Acide Aminé appelé tryptophane qui est un précurseur de la sérotonine, neuromédiateur, indispensable pour son rôle dans la régulation de l’humeur. Ensemble, ils forment un anti stress naturel. D’où l’effet “bien-être” apporté par le chocolat.

 

Les bémols à apporter et ce dont il faut se méfier pour notre santé.

Le Cacao est riche en FER. Il contient au 100g plus de fer qu’un steak. C’est vrai mais on ne les mange pas dans les mêmes quantités!

Or, la quantité de chocolat recommandée et la forme de la molécule (fer “végétale” ou Fe3+) peu assimilable par notre corps ne participera que légèrement aux apports journalier recommandés.

Le chocolat peu importe sa richesse en cacao est une BOMBE CALORIQUE.

Environ 550 Kcal pour 100g. Les besoins pour une femme sont autour de 2000 Kcal par jour. Donc le grignotage excessif de chocolat contribue au surpoids.

Sans oublier que tout les chocolats ne s’ont pas équivalent en QUALITÉ…

La différence entre les chocolats

Conseils pour choisir son chocolat

Le chocolat noir, c’est de la pâte de cacao, du beurre de cacao et du sucre.

Celui au lait, c’est de la pâte de cacao, du beurre de cacao, du sucre et de la poudre de lait.

Le chocolat blanc, c’est du beurre de cacao, du sucre et de la poudre de lait. Il ne contient pas de pâte de cacao donc aucuns des bienfaits nutritionnels cités précédemment. Car seule la pâte de cacao contient du cacao.

Les friandises de chocolat qui au mieux contiennent 50% de chocolat en lait et 50% d’autres ingrédients (sucre, huile végétales, arôme, additifs et conservateur, enrobage, agents de texture, colorants…)

Premier conseil: Regardez la liste des ingrédients.

On constate souvent pour le chocolat au lait que l’ingrédient principal, c’est à dire le premier de la liste, est le sucre.

Reposez ces chocolats en rayon et choisissez toujours un chocolat au lait dont le premier ingrédient est la pâte de cacao.

Deuxième conseils: une liste des ingrédients la plus courte possible et SANS huile végétale. L’huile notamment celle de palme, bien connu est moins chère que le beurre de cacao.

Certaine friandises de chocolat sont composées en premiers de sucre et d’huile végétale. Puis de poudre de lait et seulement après de beurre de cacao et de pâtes de cacao. Cela uniquement pour donner la couleur et un léger goût de chocolat. Car il est important de savoir que l’arôme chocolat et les colorants marrons sont interdits pour ne pas tromper le consommateur…mais on reste malgré tout bien éloigné de la recette originale.

Troisième conseils: les seuls additifs acceptables sont la lécithine de soja et l’arôme de vanille ou vanilline.

Quantité de Chocolat, les recommandations

Pour les consommateurs de chocolats il est recommandé de ne pas dépasser les 20g par jour soit 2 à 3 carreaux.

Et de préférence le plus noir possible minimum 70%.

Pour les amateurs de chocolat au lait qui souhaitent bénéficier des vertus santé du cacao. Augmenter par pallier le % inscrit sur la tablette (55% puis 60% puis 65% et ainsi de suite) pour que vos papilles s’habituent à l’amertume du cacao et apprennent à l’apprécier.

Et bien entendu, on déguste, on laisse fondre dans la bouche, on prend son temps. On l’apprécie tout en modération.

Le chocolat et la santé
Le chocolat est-il vraiment bon pour la santé?

Enfants en surpoids, parents inquiets

Enfants en surpoids, parents inquiets

Qui peux m'aider si mon enfant est en surpoids?
Que dois-je faire si mon enfant est en surpoids?

Première question: mon enfant est il vraiment en surpoids?

Enfants en surpoids, parents inquiets…D’abord, connaitre le poids et la taille de son enfant.

Calculer son Indice de Masse Corporelle. IMC = poids/(taille en cm)

Le résultat de l’IMC doit OBLIGATOIREMENT être reporté sur la “courbe de corpulence” présenté la fin du carnet de santé pour être comparer à l’âge de l’enfant.

Sur la feuille rose pour les filles de 3 à 18ans, sur la bleue pour les garçons.

JAMAIS ce chiffre d’IMC ne doit être comparer, seul, au barème des IMC adultes. Ce chiffre ne signifie rien pour cette tranche d’âge.

Ensuite, on trace une croix en fonction de l’IMC de l’enfant et de son âge sur la feuille qui lui est destiné.

Et là on constate très clairement dans quel couloir se trouve son enfant.

Et c’est encore mieux si la feuille est rempli régulièrement au cours des années.

Il est alors possible de voir les fluctuations du poids de son enfant. Ainsi si un doute apparaît cela aidera les professionnels si une prise en charge diététique s’avère nécessaire.

Deuxième question : pourquoi mon enfant est en surpoids?

Le plus souvent et ceci jusqu’à l’age de 5 ans les enfants sont capable de réguler d’eux mêmes les quantités mangées peu importe la dose dans l’assiette, peu importe l’heure ou les éléments extérieurs.

les enfants obéissent a un mode de fonctionnement instinctifs.

En revanche passé 5 ans, cette régulation naturelle se dérègle et l’heure, la quantité dans l’assiette et les éléments extérieurs influent sur les quantités mangées.

Les problèmes de poids chez l’enfant apparaissent, donc, souvent autour de cet age. Cela s’appelle le “rebond précoce”.

D’autre facteurs peuvent influer sur ce rebond précoce. D’abord, certains enfants semblent être naturellement “gourmand”. D’autre part, la génétique à sa part.

Sans se culpabiliser en tant que parents, il faut également regarder l’influence éducative qui joue parfois un rôle.

Il s’agit dans l’ensemble toujours d’un mélange de différents facteurs.

Pour finir,

Un diététicien pourra vous aider à y voir clair. Il ne s’agit JAMAIS de prescrire des régimes à des enfants. Il s’agit de conseils pratique à appliquer au quotidien en fonctions des problématiques soulevées.

Si certains conseils peuvent être appliqués par tous même par les parents dont les enfants ne souffrent pas de surpoids.

D’autres conseils personnalisés, qui auront notamment rapport avec le comportement de votre enfant face aux différents groupes d’aliments et comment y faire face efficacement.

D’autres si nécessaire, avec l’histoire familiale et le rapport qu’entretiennent les parents à la nourriture. Une histoire souvent faite d’un subtil  mélange de conflit et d’amour, seule une consultation avec un spécialiste, comme un diététicien, pourra vous aider la démêler pour retrouver la sérénité.

Une Diététicienne à Domicile pour aider les personnes âgées dans le Loiret.

Une Diététicienne à Domicile pour aider les personnes âgées dans le Loiret.
Une Diététicienne à Domicile pour aider les personnes âgées dans le Loiret.

Diététicienne à Domicile pour aider les Seniors

Diététicienne à Domicile : Je suis diététicienne nutritionniste et surtout je me déplace au domicile des patients.

Pour rester à son domicile il faut être en capacité de conserver son autonomie et de préserver son entourage.

Pour cela l’aide des professionnels qui œuvre au domicile des patients est indispensable.

Je vais donc vous parler d’un de ces professionnels qui à toute son utilité pour permettre ce maintien à domicile tant souhaité.

Mais qui est souvent méconnus des patients et de leurs entourages et auquel le médecin généraliste ne pense pas souvent.

Il s’agit du diététicien !

Si pour vieillir en bonne santé nous devons nous aider avec une alimentation équilibré riche en fibres, en vitamines, en Oméga 3, en anti-oxydant etc. etc.

  • Malheureusement passé 60 ans le vieillissement est souvent accompagné d’une voir de plusieurs pathologies.

Avec des prises de médicaments qui ne sont pas sans conséquences sur les besoins nutritionnels voir tout simplement modifie la façon de s’alimenter.

  • Si on ajoute à cela un métabolisme modifié par l’âge avec notamment des problèmes d’absorption du calcium ainsi qu’une diminution de la masse maigre au profit de la masse grasse. On comprend aisément que les besoins en matière d’alimentations ne sont pas les mêmes qu’a 40ans.

 

  • Plus technique, on peut aussi évoquer les problèmes digestifs avec une atrophie de la muqueuse gastrique, une diminution des sécrétions de l’intestin grêle donc des problèmes de digestion. Puis un ralentissement du transit avec une sensation de soif diminuée l’ensemble entrainant une constipation. Là encore une adaptation de l’alimentation est nécessaire.

Diététicienne à Domicile

Ensuite et avec de grandes disparités entre les personnes :

  • Il y a une altération de la dentition (avec des inégalités qui ne sont pas uniquement physiologique)
  • La perception des goûts et des odeurs s’altère plus ou moins significativement avec le temps.

D’abord le gout sucré (puis l’acide, l’amer et enfin le salé). La perception du gout sucré s’atténue mais pas l’appétence pour le sucre.

  • Sans oublier les régimes restrictifs que s’infligent les patients par habitude (hypocholestérolémiant, sans sel, hypocaloriques…). Le diététicien doit faire le tri entre ce qu’il est nécessaire de contrôler ou pas. Et dans le cas de plusieurs pathologies faire des compromis alimentaires.
  • Et les idées reçues (PAS DE CARRE CHOCOLAT car cela constipe etc…) Or un carré de chocolat n’a jamais constipé personne et le plaisir que cela apporte est sans commune mesure.

Tout ceci NÉCESSITE un bilan nutritionnel personnalisé adapté à l’âge, aux conditions sociales et au condition de ressources.

Je vais vous citer quelques exemples concrets où l’intervention d’un diététicien devrait être automatique.

Je ne vais pas rentrer dans le détail des prescriptions diététiques. Rassurez-vous.

Je vais juste évoquer 4 situations à risques de placement ou d’hospitalisation. Qui avec l’aide d’un diététicien intervenant à domicile serait très fortement réduite.

 

  • Une personne âgée à domicile qui perd du poids doucement mais sûrement ?

Un patient âgé qui perd du poids même doucement est un facteur d’alerte.

De multiple raison peuvent être en cause, le diététicien est formé à les détecter.

Ce phénomène doit être enraillé au plus vite car la perte de poids entraîne une dénutrition avec pour conséquence, les plus connues et les plus graves : une baisse des défenses immunitaire et une fonte musculaire donc un patient plus sensible aux infections et qui risque de chuter.

La perte de poids rend trop grand le dentier provoquant des douleurs à la mastication, le patient mange alors encore moins.

On entre alors dans un cercle vicieux dont il est souvent difficile d’en sortir sans une hospitalisation.

Donc l’idéal évidement est de prendre en charge à temps le patient à son domicile. Et de mettre en place comme cela serait le cas dans le cadre d’une hospitalisation : un suivi diététique en collaboration avec l’infirmier (s’il y en un), le médecin généraliste. Mais aussi avec les aides à domiciles et évidement l’entourage.

Et surtout on n’oublie pas le patient lui-même. Car le diététicien s’appuie sur les compétences du patient pour une prise en charge réussie.

 

L’intervention d’un diététicien pour aider l’entourage en prescrivant une alimentation adaptée au besoin et à la situation. Par exemple : des enrichissement, réorienter les menus au gouts du patients, fractionner les repas…

Aider avec des conseils concrets sur les menus et à la cuisine.

Car il faut comprendre que le métabolisme d’une personne âgée est plus lent à se remettre d’une perte de poids que celui d’une personne jeune.

Sans aide cela peut même, ne pas arriver, car les mécanismes de « rebonds » de l’organisme ne sont plus les mêmes.

Un suivi diététique est donc nécessaire.

 

  • Un(e) conjoint(e) fatigué(e) car son mari/femme atteint de la maladie d’Alzheimer bouge constamment ?

De nombreux patient atteints d’Alzheimer vivent chez eux avec leurs proches (conjoint parfois enfants). On le sait la maladie s’exprime différemment et à son rythme selon chaque patient. Les diététiciens peuvent aider dans de nombreux cas.

Un exemple particulièrement parlant est le « finger-food » ou «manger-main » qui peut être mis en place au domicile du patient.

Un patient qui ressent le besoin irrépressible de marcher, on appelle cela la « déambulation ».

Dans ces cas-là les besoins énergétiques sont augmentés.

Le problème c’est que le patient ne reste pas à table pour manger. Ce qui inquiète et excède l’entourage.

La solution est le « finger-food ».

Le diététicien adapte avec l’entourage (conjoint ou aide à domicile) les menus familiaux habituels en les transformant en menus qui se mange en marchant.

On explique que le patient revient se servir une fois finis et ainsi de suite sur le temps des repas et des collations (pas toute la journée).

Tout cela peut être mis en quelques séances avec le diététicien. Intervention ponctuelle.

Soulager rapidement l’entourage. En préservant l’autonomie du patient et réduisant les facteurs de risques liés à une perte de poids par manque d’apport.

 

  • Un patient de retour à son domicile après une opération du col du fémur ?

Après une opération, on parle d’hypercatabolisme.

Les besoins protéiques du patient sont augmentés car les protéines sont indispensables pour permettre la cicatrisation.

Et pour faire simple empêcher que l’organisme se servent dans les muscles. Ce qui inévitablement rallongerait le temps de rééducation voir dans les cas les plus dramatique l’empêcherait complètement.

Un suivi diététique à domicile est indispensable en collaboration avec les aides à domiciles, infirmiers, kiné, ergothérapeute et le médecin généraliste.

Diététiquement il y a de nombreuses mesures à prendre mais on peut citer comme exemple d’intervention du diététicien : le choix des Compléments Nutritionnels Oraux adaptés. Qui sont une aide précieuse en cas de de pertes d’appétits pour optimiser les apports en énergie et en protéines.

S’ils sont oubliés la diététicienne peut demander au médecin de les prescrire.

Dans tous les cas la diététicienne peut conseillers non seulement en fonction des goûts du patients (de nombreux parfums existent, chaud, froid, gout neutre…) mais aussi en fonctions de leurs compositions en énergie, en protéine, en sucre.

Et surtout apprendre à l’entourage, aux aides à domicile puis au patient à les cuisiner et à les adapter au mieux dans les menus. Le temps où ils sont nécessaires.

 

  • Un patient âgé en surpoids, qui a des douleurs chroniques sous traitements, et qui voit sa prise de poids progressé ?

Un patient en surpoids risque de perdre en autonomie. La prise de poids est un facteur d’aggravation des pathologies déjà présentes et peut être déclencheur de nouvelles.

Il y a plusieurs risques ici. Le patient n’arrive pas à perdre du poids de lui-même et s’enlise dans les complications souvent avec une dévalorisation de lui-même pouvant mener à la dépression. Ou alors il se restreint avec un régime restrictif pouvant entrainant une dénutrition.

Le diététicien peut intervenir permettre un arrêt de la prise de poids et une perte sans provoquer de fonte musculaire à l’aide d’une alimentation équilibrée axé sur les goûts du patient pour préserver le plaisir de manger

 

En conclusion

Ce n’était que quelques exemples et il y a de nombreuses situations où les diététiciens à domicile peuvent intervenir et faire la différence.

Les compétences de ma profession n’est pas seulement méconnu des personnes âgées, elle l’est aussi des médecins généralistes.

La faute aussi à ma profession qui ne se déplace pas souvent au domicile des patients (contrairement à moi).

L’autre frein est que nous ne sommes pas remboursé pas la sécurité sociale mais le sommes par de nombreuses mutuelles.

S’il est parfois nécessaire qu’un suivis soit régulier pour la plupart il s’agit d’intervention ponctuel. Dans tout les cas mes tarifs s’adaptent à la situation.

N’hésitez pas à faire appel à mes services si vous habitez Orleans et ses environs, les consultations à domicile ne sont pas plus chères qu’en cabinet.

Lutter contre les régimes YO-YO !

Retrouver l'estime de soi
Lutter contre les régimes YO-YO

Un Diététicien Nutritionniste à mon Domicile pour lutter contre les régimes YO-YO !

Les régimes YO-YO : Nous sommes de plus en plus de diététiciens à proposer notre offre au domicile des patients. Nous sommes quelques-uns dans le Loiret et il y a moi sur Orléans et ses villes avoisinantes.

Les avantages pour les patients sont indiscutables. La seule chose à faire c’est d’être chez soi. Pas besoin de s’organiser pour aller au cabinet, pas besoin de faire garder les enfants…

Certains patients échouent par manque de temps, ratent des consultations et se démotivent. Ils le ressentent comme un échec et ont honte. Ils prennent du temps avant de se réengager auprès d’un professionnel. Finalement, ils vont se tourner vers des régimes restrictifs à la mode…Effet yo-yo garantis, perte de temps mais pas que…

Les régimes restrictifs

N’oubliez pas que chaque régime restrictif met notre corps en alerte. Il laisse des traces. On appelle cela « la mémoire cellulaire » et « la restriction cognitive » notre corps et notre cerveau se souviennent qu’ils ont été privés de leur carburant. Ils mettent en place des mécanismes de défenses pour les tentatives suivantes. Chaque régime sera alors plus dur que le précèdent jusqu’au jour où ils ne fonctionneront plus du tout.

C’est comme cela que certain patient, qui, à 21 ans ont fait leur premier régime pour perdre 5 kg, se retrouve à 35 ans en face d’une diététicienne avec 40 kg à perdre et une estime d’eux-mêmes aussi fine qu’une plume.

La consultation à domicile offre les mêmes bases qu’au cabinet (questionnaire alimentaire, impédancemétrie…oui, oui je viens équipée). En plus, dès le premier rendez-vous un petit tour d’horizon de votre cuisine (frigidaire et placards).

Agro-alimentaire et Marketing

Pourquoi ? Car l’agro-alimentaire avec son marketing savamment orchestré parfois à la limite de la légalité en matière d’allégation santé et nutritionnelle savent nous vendre de nombreux produits gras, sucrés, plein d’air, d’eau et de gélifiants…Et d’autres encore tellement raffinés qu’on a faim 2h après en avoir manger 400kcal. Ils font de nombreuses victimes, qui, pensant bien faire se retrouvent prisonnières de fausses promesses plus ou moins induites par l’achat de ces produits. Vous y verrez plus clair dès la première séance et au fur et mesure vous ne ferez plus vos courses de la même façon. Vous deviendrez un consommateur averti.

La seconde séance après la remise de votre « régime » ou plutôt de votre rééquilibrage alimentaire respectant vos goûts et vos habitudes. Nous mettrons l’accent sur vos comportements alimentaire et cela d’autant plus rapidement qu’à votre domicile il me sera plus facile de trouver des « solutions » ou des « évitements » en fonctions de vos besoins et si nécessaires.

Rééquilibrage Alimentaire

Un rééquilibrage bien suivi passe presque inévitablement par une phase « pallier » particulièrement perturbante. Tout se passe bien, la perte de poids est régulière et d’un coup pendant un mois sans avoir rien changé le chiffre sur la balance stop sa descente.

C’est normal et c’est bon le corps. Il enregistre ses changements cela signifie que c’est un poids qui lui convient. Il lui faut juste un peu de temps avant de se préparer à lâcher encore de son gras qu’il affectionne tant pour sa survie (car vous avez beau le trimbaler dans les hypermarchés, le corps lui, il continuera toujours d’avoir peur de la famine). Alors quoi de mieux pendant cette phase que de cuisiner avec sa diététicienne et revoir ses menus.

Vous l’aurez compris, si les diététiciens se tournent vers le domicile c’est pour une prise en charge globale et personnalisée.  Ils peuvent donc offrir toutes les chances à leurs patients de réussir, de commencer une nouvelle vie avec le plaisir de manger sans culpabiliser. Et cela sans se restreindre et aussi la joie retrouvée de se regarder dans le miroir.

N’hésitez pas à faire appel à mes services si vous habitez Orleans et ses environs. Les consultations à domicile ne sont pas plus chères qu’en cabinet et sont aussi prise en charge par de nombreuses mutuelles.

Un Nutritionniste ou un Coach minceur ?

C'est quoi un Nutritionniste?
Comment choisir entre un nutritionniste et un coach minceur?

A qui m’adresser pour perdre du poids un Nutritionniste, un Coach, un Spécialiste?

La question se pose.

Nutritionniste, coachs ou spécialistes de la nutrition…certaines entreprises proposent d’être suivis par ses “professionnels”, nous vendant des produits minceurs et des prestations à distances. Elles inondent le marché de la minceur et provoquent une confusion dans les esprits.

C’est notamment grâce à cela qu’elles prospèrent au détriment des personnes souffrant de leurs quelques kilos en trop. A cela s’ajoute des coachs qui proposent des méthodes basées sur leurs passions pour l’alimentation et la santé et qui s’auto-proclame conseiller en alimentation.

Il ne suffit pas d’aimer parcourir des magazines de régimes, d’avoir une copine et une grand-mère au régime, de lire 2 livres traitant de l’alimentation pour être un PROFESSIONNEL !

Entre les produits miracles, les plats à domiciles et les conseillers passionnés non formés il y a de quoi être perdu.

Qui sont les vrais professionnels de la “minceur”?

« Nutritionniste » cela est clair dans la loi française. Seulement et uniquement 2 professionnels de santé sont autorisés à utiliser cette dénomination : le Médecin Nutritionniste et le Diététicien Nutritionniste.

C’est tout ! Les autres sont hors-la-loi purement et simplement.

Ne vous faites plus avoir par des « coachs en Nutrition », « les spécialistes minceur et nutrition », « les conseillers en nutrition » …STOP

Le Médecin Nutritionniste est le plus souvent un médecin généraliste ayant suivis un diplôme complémentaire en nutrition. Car vous le comprenez en matière de nutrition même un médecin avec 7 ans d’études et une complète maîtrise du corps humain et de ses maladies doit encore se spécialiser. C’est un domaine complexe!

Le Diététicien Nutritionniste, quant à lui, n’est pas médecin son domaine de compétence c’est la Nutrition pour toutes les tranches d’âges et pour énormément de pathologies. Il peut exercer à l’hôpital, en maison de santé, en cabinet ou à domicile…

Quels risques je prends ?

N’oubliez pas que tout ce qui touche à notre corps est aussi précieux que complexe.

Raison pour laquelle, il nous faut s’adresser à des personnes compétentes, formées qui savent ce qu’elles font, pourquoi elles le font, qui vous expliquent sans vous embobiner et sans vous vendre de produits miracles.

Nous pouvons facilement dérégler la machine avec des conséquences graves.

Des conséquences qui ne seront plus seulement esthétique : quelques kilos en trop. Non, des conséquences qui impacteront sérieusement notre santé. Perte trop rapide = reprise de poids plus importante que la perte. Donc des facteurs de risque maladie cardio-vasculaire. Et aussi du diabète, des douleurs articulaires. Et bien évidement une augmentation de la masse grasse avec une perte musculaire et parfois une déminéralisation osseuse… Rien que ça!

Puis une fois qu’ils ont pompé votre portefeuille, ces gens là ne se préoccupe pas des conséquences psychologiques liés à l’échec obligatoire de leurs méthodes drastiques, inefficaces ou dangereuses.

Toutes les personnes qui ont suivis un régime et repris derrière vous le diront elles n’ont pas que perdu du temps et de l’argent elles ont perdu de l’estime d’elle-même. Elles se sentent nulles, incompétentes…les douleurs psychologiques, le dérèglement du métabolisme, les pertes financières, les conséquences sur la vie sociale et les couples…tout cela ce n’est pas une vie !

Si vous avez du poids à perdre, si des régimes vous ont leurrer adressez-vous à un Médecin Nutritionniste ou à un Diététicien Nutritionniste.

Les professionnels sont-ils plus chers?

La réponse est NON !

Cela coûte beaucoup beaucoup moins cher que n’importe quelle cure a base de produits de régimes. Même si certaines plateformes peuvent sembler moins chère avec un abonnement mensuel. Il ne faut jamais oublier que vous n’en retirerez aucun apprentissage. Une fois les produits et les régimes drastiques vendus, vous êtes de nouveau seul face à vos anciennes habitudes. Mais aussi vos angoisses.

Avec un Nutritionniste qu’il soit médecin ou diététicien, la prise en charge sera complète. Vos habitudes alimentaires seront étudiées pour se rapprocher de l’équilibre alimentaire tout en respectant vos goûts. Votre manière de cuisiner, les portions servies sont réévaluées pour de bonnes habitudes pour tout le reste de votre vie.

Sans oublier votre comportement vis à vis de l’alimentation. Le grignotage ou les compulsions dont certains souffrent, sont pris en charge, compris et traités pour vous apporter la sérénité.

Dans le Loiret, vous avez tous ces professionnels. Les prix peuvent varier mais vous avez le choix alors n’hésitez plus !

Correctement accompagné jusqu’à stabilisation vous retrouverez le moral, perdrez du poids sans le reprendre car vous aurez appris à manger équilibré sans vous frustrer. Et cela pour tout le reste de votre vie !